She didn’t speak… but her silence screamed louder than my alarm clock.
At 3 a.m., she’s not crying over noise—she’s just sipping the last bitter dawn like it’s the final episode of ‘Mom Life: The Unaired Cut’.
Her skirt? Blue as regret. Her hair? Ink spilled by poetry.
And those butterflies? They’re not fluttering for likes—they’re remembering what it means to be alive.
…you felt it anyway.
(Also—did anyone else just quietly cry while making coffee? Drop a comment if you’ve ever been seen without being heard.)
Ella no habla… pero su silencio grita más fuerte que un concierto de rock. En Madrid, hasta las ventanas saben cuándo dejar de respirar: ella lo hace con tanta elegancia que hasta el café se pone nervioso. Dos mariposas en su cabello le dicen: “¿Vivir? Sí… pero sin ruido”. ¿Y tú? ¿También lo sientes? 👇 ¡Dime si tu silencio también tiene sabor a amanecer!
Elle s’assoit en silence… mais pas parce qu’elle a peur du bruit. Non, elle écoute les murs qui respirent à 3h du matin. Son jupon bleu ? C’est un soupir de l’enfance.
Les papillons dans ses cheveux ? Des souvenirs d’émigration qui ne veulent pas être vus… mais bien être sentis.
Et ce café froid sur le rebord ? C’est la seule chose encore chaude dans cet appartement.
Vous aussi, vous avez déjà pleuré en silence… sans dire un mot ?




